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M'inscrireLa « famille » de l’Aviron Grenoblois aux JO de Paris 2024

Publié le , mis à jour le 04 juillet 2024
Du 26 juillet au 11 août, Paris accueille les Jeux Olympiques. Parmi les athlètes du territoire, les rameurs de l'Aviron Grenoblois occupent une place de choix.
La moitié des rameurs français présents aux JO viennent du club de l’Aviron Grenoblois. Et chacun conserve un lien affectif très particulier avec ce club : « C’est ma 2e famille, cela va au-delà du sportif, c’est un endroit où je peux me ressourcer », explique par exemple Laura Tarantola. Médaille d’argent au championnat d’Europe en 2018, 2019, 2020 et 2022, médaille d’or au championnat du monde en 2018 et médaille d’argent aux JO de Tokyo en 2021, la jeune rameuse est LA grande prétendante à une médaille d’or pour l’aviron français.
L’autre espoir de l’aviron français (et grenoblois) est né à Voiron, pas très loin du lac Paladru où il a ramé pour la première fois. Pour Ferdinand Ludwig, ce sport, c’est d’abord une histoire de famille : sa mère, son père, ses cinq frères, et même sa tante rament. A 24 ans, il a déjà décroché une médaille de bronze en 2019 et d’argent en 2021 au championnat d’Europe, et une médaille d’or à la Coupe du monde en 2023. Aux JO, « mon objectif est de faire le meilleur résultat sans me poser trop de questions… Même si je vais chercher la médaille d’or ».
Elément déclencheur
Autre promesse : les frères Turlan, Guillaume et Thibaud. Le duo a participé aux JO de Tokyo de 2021. L’expérience, pas très heureuse, est résumée par Thibaud : « On connaît tous l’adage : la première fois que l’on participe aux JO, c’est pour regarder ; la deuxième fois, c’est pour performer… » Avec son frère jumeau, Thibaud estime « envisageable » de figurer, cette fois-ci, dans le top 3 de leur catégorie, le quatre sans-barreur.
Elle-aussi a participé aux Jeux de Tokyo. Elle-aussi en garde un souvenir – sportif - mitigé : « Cela s’était fait un peu au dernier moment, avec un résultat pas incroyable. Mais cela m’a permis de vivre à fond l’olympisme. Les JO, c’est vraiment le graal, c’est une autre dimension ». Emma Lunatti, 25 ans, née à Grenoble, s’apprête à revivre cette expérience ultime des JO mais à domicile cette fois, et devant le public français. Et avec sans doute une pensée particulière pour l’Isère et l’Aviron Grenoblois, un club, comme Laura Tarantola, où elle a tout appris : « Ils ont déclenché l’amour pour ce sport-là et rien que pour cela, c’est important de les représenter à Paris ».
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